Toulouse du côté de l’avenue Etienne Billières
Région : Occitanie (ex-Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées)
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Population de Toulouse: 458 298 habitants
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Propriétaires : 33,5 %
(source : Insee 2013)
Toulouse, la ville rose à la magnifique architecture, est classée au Patrimoine mondial de L’Unesco depuis 1996 et, depuis 1998 au titre des chemins de Saint-Jacques de Compostelle. Elle abrite des rues et avenues aussi nombreuses que pittoresques. Visite de l’une d’elles, l’avenue Etienne-Billières.
Située entre les stations de métro Saint-Cyprien-République et Patte d’Oie, l’avenue Etienne Billières est idéalement située, non loin des rives de la Garonne.
Cernée d’immeubles traditionnels de pierre rose et d’autres bâtiments plus récents aux façades blanches, l’avenue Etienne Billières compte de nombreux commerces de proximité à l’ombre des platanes qui dessinent une perspective verte : bar-tabac, maison de la presse, banques, salons de coiffure, boulangerie, prêt-à-porter femme et homme, magasin diététique, opticien, imprimerie, auto-école, chocolatier, pharmacie, bureau de poste, location de vélo, assureur, tapissier, caviste, restaurant, fleuriste, supermarché Casino, superette Spar, couturière, agence interim, soutien scolaire, photographe, pizzeria, cordonnerie multiservice, librairie, magasin de téléphonie, magasin d’audition, sandwicherie… et bien sûr votre agence CENTURY 21 Fly Immo qui bénéficie d'un emplacement clé au 52, Avenue Etienne Billières.
Mais qui est celui à qui la ville rend hommage en donnant son nom à l’un de ses belles avenues ?
Étienne Billières naît à Toulouse, en 1876, dans le quartier Saint-Cyprien. Très jeune, il s’engage au côté des socialistes et devient adjoint du premier maire socialiste de la ville, Albert Bedouce, en 1906. Etienne Billières n’a que 30 ans et peut dès lors observer les rouages de la gestion municipale. Plus tard, il collabore au journal le Midi Socialiste dans lequel il publie régulièrement des articles.
En 1925, Etienne Billières devient maire de Toulouse. Il sera réélu en 1931, mais ne mènera pas ce manda à son terme, car il décèdera en 1935, lors d'un voyage familial.
Considéré comme l’un des grands maires de Toulouse, la ville lui doit le développement du logement social, la dynamisation du logement par l’aide à l’accession à la propriété, la rénovation et la construction d'écoles et de structures sportives.